Les conférences d’IBSIC au sein du Vidéo Mapping Festival 2019 étaient des rencontres, conférences, projections, études de cas avec pas moins de 35 intervenants condensés en à peine deux jours très intenses. Ce fut l’occasion de mettre des visages sur des noms, de rencontrer les studios de VideoMapping internationaux, de papoter avec des artistes, des producteurs, des diffuseurs, des nouveaux venus juste curieux de cette discipline toujours en constante évolution. Le marché de l’art VideoMapping doit se renouveler tous les jours, inventer de nouvelles façons de diffuser technologiquement, de raconter des Histoires sur des volumes, qu’ils soient monumentaux ou tout mini petits. L’évolution de l’écriture doit prendre le pas sur la simple représentation d’effets visuels d’une façade architecturale. La plus part des questions et des thématiques abordés durant cette conférence, mon rappelé les mêmes confes auxquelles je participais sur la culture Vjing il y à dix, quinze ans en Europe ; c’est quoi le VJing ou le VidéoMapping, la création originale, sortir du carcan des écrans, la diffusion, les droits d’auteur, l’association audio vidéo, le modèle économique, l’auto formation et la formation. Bref la discipline et la forme change en restant sur le même fond.
Le vendredi soir venu, un parcours de 25 VideoMapping à découvrir au centre de Lille, résultat des résidences d’artistes, des workshops d’étudiants et autres ateliers pédagogiques d’enfants s’initiant au VideoMapping.